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30 juin 2007

Date des soldes en Espagne (Madrid et Barcelone)

[par le webmaster] Faire de bonnes affaires avec les soldes : une raison originale de découvrir ou re-découvrir l'Espagne
C'est bientôt le début des soldes d'été à Barcelone. Le début de la période de soldes est même déjà passé à Madrid. Pour ceux et surtout celles qui souhaiteraient profiter de prix vraiment attractifs dans des boutiques espagnoles réputées comme Zara ou Mango, il est encore temps de prendre le premier avion.

Voici les dates précises des soldes d'été 2007 dans ces 2 villes :
- dates des soldes d'été à Madrid : du 21 juin au 21 septembre 2007
- date des soldes d'été à Barcelone : du 1er juillet au 31 août 2007

Pour ce qui est des soldes d'hiver en Espagne, la période concernée se situe généralement à cheval sur les mois de janvier, février, et mars.


>> Voir également : Vacances en Espagne

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publié par EnEspagne.com à 4:30 PM
Date des soldes en Espagne (Madrid et Barcelone)
   

25 juin 2007

ESPAGNE / AL-QAIDA : ESPAGNE ET ONU (Finul) FRAPPEES AU LIBAN : 6 MILITAIRES TUES DANS UN ATTENTAT ATTRIBUE A AL-QAIDA

LatinReporters.com[par LatinReporters.com] :
Le groupe sunnite Fatah al-Islam, qui se réclame d'Al-Qaida, est considéré à Madrid comme l'auteur probable de l'attentat à la voiture piégée qui a tué dimanche dans le sud libanais 6 casques bleus de l'ONU et blessé 2 autres. Les morts, 3 Espagnols et 3 Colombiens, appartenaient au contingent espagnol de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). L'Espagne maintiendra sa mission dans ce pays.

Le groupe sunnite Fatah al-Islam, qui se réclame d'Al-Qaida, est considéré à Madrid comme l'auteur probable de l'attentat à la voiture piégée qui a tué dimanche dans le sud libanais 6 casques bleus de l'ONU et blessé 2 autres. Les morts, 3 Espagnols et 3 Colombiens, appartenaient au contingent espagnol de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). L'Espagne maintiendra sa mission dans ce pays.
Depuis sa création en 1978, la Finul a perdu 266 hommes au Liban. Il s'agit toutefois du premier attentat contre cette force internationale des Nations unies depuis son renforcement après la guerre de l'été 2006 entre armée israélienne et chiites du Hezbollah.
Selon un communiqué de la Finul, les premiers résultats de l'enquête indiquent que l'explosion d'une voiture piégée a frappé de plein fouet l'un des deux véhicules blindés d'une patrouille du contingent espagnol en mission ordinaire d'observation entre les villes de Marjayoun et de Khiam. Dimanche soir à Madrid, le ministre espagnol de la Défense, José Antonio Alonso, parlait déjà "d'attentat" et "d'attaque" à la voiture piégée ou à l'explosif télécommandé.
Le ministre a reconnu lundi que les deux véhicules n'étaient pas équipés d'inhibiteurs de fréquences contre les explosions télécommandées. L'état-major n'estimait pas le contingent espagnol en danger imminent.
Pressentant qu'il serait soupçonné, le Hezbollah a rapidement condamné l'attentat, perpétré dans une zone où son influence est forte, le qualifiant d'"agression suspecte qui porte atteinte au Liban sud et à ses habitants".
Le quotidien madrilène El Pais, proche du gouvernement socialiste espagnol, écrit, en citant des sources du ministère de la Défense, que le groupe Fatah al-Islam est probablement l'auteur de l'attaque.
En lutte ouverte depuis un mois contre l'armée libanaise, cette organisation extrémiste regroupant des Palestiniens et d'autres Arabes de diverses nationalités a accusé la Finul d'avoir bombardé un camp palestinien le 2 juin et de faire ainsi cause commune avec l'armée.
L'attentat visait donc peut-être la Finul et son rôle au Liban. Son commandant en chef, le général italien Claudio Graziano, croit pour sa part qu'il s'inscrit dans une entreprise plus large de déstabilisation de la région. Il s'est gardé de citer la Syrie ou l'Iran, pays souvent accusés dans les capitales occidentales d'organiser et/ou de financer le terrorisme au Liban.
L'Espagne était-elle aussi la cible de l'attentat? Aucune autorité officielle, libanaise, onusienne ou espagnole ne l'affirme. Néanmoins, plusieurs communiqués récents d'Al-Qaida critiquaient explicitement la présence de militaires espagnols au Liban et en Afghanistan.
Les effectifs de la Finul s'élèvent à 13.000 hommes. Les 1.100 casques bleus espagnols forment en importance le troisième contingent, après ceux de l'Italie et de la France.
Depuis 1989, l'armée espagnole a perdu lors de missions extérieures 134 hommes et une femme, victimes d'attentats, d'attaques ou d'accidents. Ces pertes sont liées à des missions effectuées notamment au Liban, en Afghanistan, en Bosnie, en Irak et au Kosovo.
Au nom de "liens spéciaux historiques, culturels et linguistiques", l'armée espagnole admet des recrues originaires des pays latino-américains et de la Guinée équatoriale, ancienne colonie africaine de l'Espagne. Quatre-vint pour cent de ces étrangers viennent de l'Equateur et de la Colombie. Ils représentent actuellement 5,5% des 78.000 militaires professionnels de l'armée espagnole, constituée exclusivement de volontaires.
Mais dans les unités d'intervention telles que la Légion et la Brigade parachutiste, en première ligne dans les missions extérieures, le pourcentage d'étrangers atteint 30%, ce qui explique les 3 victimes colombiennes parmi les 6 morts de l'attentat de dimanche. Outre des raisons économiques, c'est pour obtenir plus facilement la nationalité du pays d'accueil que des Latino-Américains s'engagent et meurent parfois sous l'uniforme espagnol et surtout, en Irak, sous l'uniforme des Etats-Unis.
Si la participation de l'Espagne à la guerre en Irak, de 2003 à 2004, avait soulevé une vive opposition populaire et contribué à la victoire du socialiste José Luis Rodriguez Zapatero aux législatives de mars 2004, le déploiement d'un contingent au Liban est, lui, admis par toutes les forces politiques espagnoles.
Cela n'empêche pas le Parti populaire (PP, opposition conservatrice) de Mariano Rajoy de prétendre que ce déploiement s'inscrirait dans la même lutte globale contre le terrorisme que celle menée en Irak et en Afghanistan. M. Rajoy reproche à M. Zapatero de "cacher, pour présumer de pacifisme", que la mission dite de paix au Liban "s'inscrit dans un scénario de guerre". Et le chef de l'opposition d'ajouter: "L'armée n'est pas une ONG".
Sous le titre "Mourir au Liban", l'éditorialiste d'El Pais parle de "tribut qu'il faut savoir payer, celui d'une puissance européenne, huitième économie mondiale, qui se trouve là où la défense de la paix le requiert". Son confrère du journal conservateur ABC prend pour sa part l'attentat à témoin afin d'inviter le président du gouvernement, José Luis Rodriguez Zapatero, à abandonner son parti pris pro-palestinien dans le conflit du Proche-Orient.
Le ministre de la Défense, Jose Antonio Alonso, a affirmé que l'Espagne maintiendra sa mission au Liban. Il devait y présider au rapatriement des six casques bleus tués. Les malheureux étaient âgés de 18 à 21 ans. Dans une Espagne en deuil officiel, ils auront des funérailles d'Etat, rehaussées des condoléances des nombreux pays, notamment les Etats-Unis et la France, qui ont condamné l'attentat.


>> Voir également : Presse et journaux espagnols

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publié par EnEspagne.com à 11:39 PM
ESPAGNE / AL-QAIDA : ESPAGNE ET ONU (Finul) FRAPPEES AU LIBAN : 6 MILITAIRES TUES DANS UN ATTENTAT ATTRIBUE A AL-QAIDA
   

18 juin 2007

REAL MADRID ENFIN CHAMPION et David Beckham s'en va

LatinReporters.comFOOTBALL ESPAGNOL [par LatinReporters.com] :
Drôle de week-end. Pluie à Séville pour l'ouverture du Forum international sur la sécheresse. Au Grand Prix de F1 d'Indianapolis, nouvelle leçon de pilotage du débutant Lewis Hamilton au double champion du monde asturien Fernando Alonso. Et en football, triomphe dans la capitale espagnole du Real Madrid, en mission impossible, comme au ciné avec Tom Cruise, ami du galactique David Beckham.

Dans la tribune d'honneur du stade Bernabeu, à onze heures du soir, des lunettes de soleil extra-noires identifiaient scientologiquement l'acteur hollywoodien.

David, lui, embrassait la pelouse sous les feux d'artifice. Après trois saisons de sécheresse, sans la moindre coupe depuis l'arrivée de Beckham, le Real Madrid, club le plus médaillé de la planète, a enfin éclipsé le F.C. Barcelone et récupéré le titre de champion national. Le 30e de sa collection, riche aussi de 9 coupes d'Europe et 17 coupes d'Espagne.


Le succès madrilène ravive l'auréole de David Beckham. Sa cote en dollars se consolide avant le plongeon, à la rentrée, dans le championnat professionnel nord-américain, sous les couleurs du Los Angeles Galaxy.

Au bord du Pacifique et en voisin de Tom Cruise et Katie Holmes, de Brad Pitt et Angelina Jolie, David et Victoria Beckham auront la chance californienne de vivre sous l'autorité d'Arnold Aloïs Schwarzenegger.

Le musculeux gouverneur n'aura pas besoin de rappeler au couple britannique qu'aux Etats-Unis les immigrés se doivent d'apprendre l'anglais. En Californie, la langue de Cervantes enrichie par Pancho Villa concurrence celle de Shakespeare révisée par Buffalo Bill et Schwarzenegger soupçonne d'impérialisme rampant les chaînes de télé hispanophones.

Pas de danger néanmoins avec David et Victoria. Quatre ans à Madrid leur permettent de dire "buenos dias, gracias, adios...". Peut-être aussi "bancos" et "millones de euros". Mais guère beaucoup plus, ce qui ne les prive pas d'être sympas.

"Orgueil viking" titrait lundi à la une le quotidien sportif madrilène Marca pour saluer le triomphe du Real Madrid. Pourquoi viking? L'entraîneur, Fabio Capello, est Italien et les buts indispensables, dimanche, furent marqués par le Sévillan Reyes et le Malien Diarra.

Si c'est une question de cornes, comme celles des casques des vikings, il s'agira d'une référence à la bravoure des taureaux. Quoique rafler le titre au Barcelone dans la dernière demi-heure du dernier match de la saison relève d'une fameuse chance de cornard(s), autrement dit de cocu(s).

Les cartomanciens de la politique notent que le dernier règne du F.C. Barcelone, emblème du nationalisme catalan, se confirma après la victoire, aux législatives de mars 2004, du socialiste fédéraliste José Luis Rodriguez Zapatero, supporter des Barcelonais. Et le retour en gloire du Real Madrid, dont l'image est associée à celle de l'Espagne de droite centraliste, succède à la défaite de M. Zapatero aux municipales de mai dernier, remportées en nombre global de voix par les conservateurs du Parti Populaire.

De quoi donner envie de remplacer les élections par des tournois de football.


>> Voir également : Presse et journaux espagnols

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publié par EnEspagne.com à 11:59 PM
REAL MADRID ENFIN CHAMPION et David Beckham s'en va
   

05 juin 2007

ETA / ESPAGNE : l'ETA reprend les armes "sur tous les fronts" et Zapatero mobilise contre ce "délire totalitaire"

LatinReporters.comACTUALITE ESPAGNOLE [par Christian Galloy de LatinReporters.com] :
"ETA renonce au cessez-le-feu permanent et a décidé d'agir sur tous les fronts en défense de l'Euskal Herria ["Patrie basque" comprenant aussi le Pays basque français] à partir du 6 juin à 00h00. Vive l'Euskal Herria libre! Vive l'Euskal Herria socialiste!" Ces mots qui annoncent un été chaud concluent le dernier communiqué des terroristes indépendantistes basques. Le chef du gouvernement espagnol, le socialiste José Luis Rodriguez Zapatero, en appelle à la mobilisation des démocrates contre ce "délire totalitaire".

"Nous renouvelons notre décision de défendre par les armes le peuple agressé par les armes" dit le communiqué des séparatistes publié le 5 juin par les journaux basques Gara et Berria. Déjà ébranlé par l'attentat sans préavis du 30 décembre dernier contre l'aéroport de Madrid, le "cessez-le-feu permanent" annoncé par l'ETA le 22 mars 2006 est maintenant formellement enterré.


"Le talent de Zapatero s'est converti en fascisme" lancent les indépendantistes contre le président du gouvernement. José Luis Rodriguez Zapatero avait ouvert officiellement en juin 2006 (et même probablement, dans la discrétion, plusieurs mois auparavant) un dialogue avec l'ETA. Ce processus dit de paix suspendu (ou seulement ralenti?) après l'attentat du 30 décembre, qui a tué deux immigrés équatoriens et détruit un parking de plusieurs étages et des centaines de véhicules, apparaît désormais comme définitivement liquidé. Annonciateur de l'ultime décision des terroristes, "l'impôt révolutionnaire" était à nouveau réclamé massivement ces dernières semaines aux chefs d'entreprises basques.

C'est un revers grave pour M. Zapatero. Il avait fait de ce "processus de paix" avorté l'un des piliers de la législature. A dix mois des prochaines élections législatives de mars 2008, son Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) était battu en nombre global de voix aux municipales du 27 mai dernier par le Parti populaire (PP, droite) qui avait fait campagne contre les concessions du gouvernement à l'ETA et à la galaxie indépendantiste basque. Plusieurs observateurs croient que cette défaite et les turbulences actuelles inciteront M. Zapatero à convoquer des élections anticipées pour l'automne, avant la consolidation du renouveau du PP.

Dans une intervention institutionnelle radio-télévisée, quelques heures à peine après la diffusion du communiqué de l'ETA, José Luis Rodriguez Zapatero a promis de répondre aux terroristes par "l'unité des forces démocratiques, l'Etat de droit, l'efficacité des forces de sécurité et la coopération internationale". Le dirigeant socialiste a affirmé que "la force de la démocratie et de la parole vaincra toujours le délire totalitaire". Se référant implicitement à de prochains attentats, il a prévenu que "la douleur durera ce que la loi, la démocratie et la liberté tarderont à en finir avec la violence".

Chef de l'opposition conservatrice et président du PP, Mariano Rajoy a aussitôt exigé de M. Zapatero "de la clarté, des faits et des preuves de sa volonté de rectifier" sa politique à l'égard de l'ETA, loin de toute "ambiguïté" et "sans la moindre concession ni négociation". Selon M Rajoy, qui prit la tête de gigantesques manifestations contre le dialogue avec les terroristes, "l'ETA sera vaincue par la loi et l'Etat de droit, sans raccourci".

Dans leur communiqué, les indépendantistes prétendent "qu'au cessez-le-feu permanent offert par l'ETA, le gouvernement espagnol a répondu par des arrestations, la torture et tout type de harcèlement. Les conditions démocratiques minimales nécessaires à un processus de négociation n'existent pas".

L'ETA estime que "nous vivons actuellement en Euskal Herria une situation d'exception". Elle qualifie "d'antidémocratiques" les élections municipales et partiellement régionales du 27 mai, auxquelles la justice espagnole a empêché de participer "des milliers de citoyens et la gauche patriote". Effectivement, sur les 256 listes de candidats présentées au Pays basque et en Navarre par l'Action nationaliste basque (ANV) que soutenait Batasuna, vitrine politique de l'ETA, à peine 123 furent acceptées. Ce tamisage judiciaire favorisé par le gouvernement à la recherche d'une politique médiane avait irrité tant les indépendantistes basques que la droite nationale espagnole. A ce propos, le PP de Mariano Rajoy a dénoncé le retour de l'ETA, via l'ANV, dans une quarantaine de mairies basques et navarraises.

L'ETA s'en prend par ailleurs à une complicité supposée entre le Parti nationaliste basque (PNV) et les socialistes de M. Zapatero. Contrôlant le gouvernement régional basque depuis un quart de siècle, le PNV, considéré comme modéré quoique ne cachant pas des aspirations souverainistes, est qualifié dans le communiqué de parti "à la soif d'argent insatiable".

La France visée aussi?

"L'autodétermination" et la "territorialité" restent, aux yeux des indépendantistes, les clefs du problème basque. Ils réaffirment leur ambition "de cheminer vers un Etat indépendant appelé Euskal Herria" incluant la Navarre et les trois provinces du Pays basque espagnol (Alava, Biscaye et Guipuzcoa), ainsi que les trois provinces du Pays basque français (Labourd, Soule et Basse-Navarre). Ces sept entités seraient appelées à former ce que l'ETA (mais aussi le PNV) appelle en basque "Zazpiak bat", soit "Sept en une".

Théoriquement, la France est donc visée aussi par le retour de l'ETA au terrorisme actif. Reçu le 31 mai dernier à Madrid par M. Zapatero, le président français Nicolas Sarkozy affirmait devant la presse que "l'ETA, c'est un problème espagnol et nous avons toujours veillé, en France, à ce que ce ne soit pas un problème français." Ce qui n'empêchera pas Madrid et Paris de poursuivre, a précisé M. Sarkozy, leur "collaboration exemplaire" contre le terrorisme.

Depuis 1968, les attentats de l'ETA ont fait 855 morts (chiffre du site Internet de la Garde civile), plus de 2.400 blessés et des pertes matérielles et financières évaluées en 2004 dans une étude du juge Baltasar Garzon à 12 milliards d'euros. Les victimes de l'ETA ont été frappées, pour plus de 90% d'entre elles, après la mort de Franco (novembre 1975) et le rétablissement en Espagne, qui amnistiait ses détenus politiques, d'une démocratie offrant au Pays basque la plus large autonomie financière, administrative et politique de son histoire. La revendication de l'indépendance y est tolérée même sur le plan électoral si elle ne s'appuie pas sur l'assassinat politique ou toute autre forme de violence.

Aux élections régionales basques du 17 avril 2005, le Parti communiste des terres basques (PCTV-EHAK), qui servait alors d'enseigne électorale à la mouvance de l'ETA, avait obtenu 12,5% des suffrages.


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publié par EnEspagne.com à 2:05 PM
ETA / ESPAGNE : l'ETA reprend les armes "sur tous les fronts" et Zapatero mobilise contre ce "délire totalitaire"
   

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